Sabine Coudert est née à Paris, le 19 avril 1970. De sa peinture, certains disent qu’elle a un effet thérapeutique, qu’elle apaise (peut-être grâce à ses compositions linéaires horizontales) ; d’autres y voient le reflet de la joie. D’autres encore y perçoivent l’influence de certains peintres comme Rothko, de Staël ou Soulages. Sabine Coudert pense en effet que ces artistes constituent inconsciemment une source d’inspiration pour elle.
Ainsi l’on peut, sur certains de ses tableaux, y déceler leurs influences. Sabine Coudert aime le design, l’architecture, la photographie. L’art abstrait la fascine. Elle « vénère » Kandinsky, Klein, Rothko et Soulages. Elle aime composer avec les couleurs et les textures, elle aime expérimenter.
Ses toiles sont le résultat d’une inspiration du moment, toujours accompagnée de musique. Elle les réalise en plusieurs étapes : il peut se passer des semaines entre plusieurs séances sur une même toile. Il s’agit de compositions qui « s’improvisent » au fur et à mesure. Et puis, à un moment, elle se dit : « C’est parfait », et ceci est purement subjectif.
Sabine Coudert was born in Paris on April 19, 1970. Some say that her painting has a therapeutic effect, that it calms (perhaps thanks to her horizontal linear compositions); others see it as a reflection of joy. Still others perceive the influence of certain painters such as Rothko, de Staël or Soulages. Sabine Coudert indeed thinks that these artists are unconsciously a source of inspiration for her.
Thus, on some of his paintings, we can detect their influences. Sabine Coudert loves design, architecture and photography. Abstract art fascinates her. She “worships” Kandinsky, Klein, Rothko and Soulages. She likes to compose with colors and textures, she likes to experiment.
His paintings are the result of an inspiration of the moment, always accompanied by music. She carries them out in several stages: weeks can pass between several sessions on the same canvas. These are compositions that « improvise » as you go. And then, at one point, she says to herself: « It’s perfect », and this is purely subjective.